L'euro, le politicien et la vaseline

Ca va durer encore longtemps ?

Beau temps, ne trouvez-vous pas ?

Clearstream ? Ne me parlez pas de cette blague stupide...

En chantant la

giscardienne

Faites-moi confiance, il n'y aura plus de famine en Centrafrique.

Sacré tobogan pompidolien

Pom-pom-pom

Palais gruyère

On aurait bien aimé !

Bon Dieu ! Qui a lâché une perlouse ?

Si je l'attrape !...

M... ! J'me suis cassé un ongle !

Beau ténébreux, va !

Encore luiiii ? Laisse tomber, Valéry, ta constit', on la connaît. Et ferme la bouche, y a des mouches.

Rachida s'en va faire son marché.

Nicolas chez les rabbins

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Le coup de gueule de Cormoron-Bricam

J'ai trouvé ça dans ma boîte e-mail ce matin. "Ca", c'est ce qu'il y a juste en dessous : un diaporama envoyé anonymement. C'est court mais édifiant quant à la façon dont on nous met le supposé suppositoire sans qu'il y ait besoin de vaseline. Avant de lire la suite de ce coup de gueule, cliquez sur cette image, vous ne perdrez pas votre temps. C'est garanti sans virus, je l'ai moi-même, évidemment, testé.

Pour faire défiler le diaporama, cliquez sur le fond des images

Si vous voulez sortir du diaporama à n'importe quel moment, appuyez sur la touche "Echap" ou quittez la page.

(Pour ceux qui n'ont pas la visionneuse Powerpoint : cliquez ici)

Vous avez bien vu ? Bon, maintenant, vous allez peut-être me dire : Oui, c'est vrai, mais on le sait déjà !

Oui, bien sûr, on le sait déjà !... Mais il ne suffit pas de le savoir ! En avoir conscience, c'est mieux. Avouons-le, la plupart de nos concitoyens savent qu'ils se font blouser continuellement, mais ils ne font rien pour endiguer la diarrhée montante mondialiste. Ils sont maleuros mais n'ont rien de franc dans leur attitude; Ils savent pourtant que l'oignon fait la force mais ils se complaisent dans la farce politicocardière du politiquement correct.

J'ai mal à l'euro, dit en larmoyant le pauvre homme qui se l'est fait mettre par les maîtres es-arnaque. J'ai eu envie de lui répondre : " C'est bien fait, t'avais qu'à pas vautrer pour çlui-là et çlui-ci !" Mais je me suis mordu la langue. Est-ce que le malheureux avait le choix ? Depuis le mythe errant pendant quatorze ans, jusqu'aux douze ans plus que révolus de monsieur "Il faut que je vous le dizzzzze, je vous l'ai bien mizzzzze", les cloches sont devenus de plus en plus cloches, le bourdon en tête, et les puissants de plus en plus puissamment con cul pissant. Entre deux, des cohortes de petits profiteurs, voire de gros magouilleurs se sont fait les cojones en or sous la protection de nos gourouvernementaux.

Il faut avouer, aussi, qu’à l’époque où monsieur « je vous le dizzzzze » était maire de Paris, les « affaires » marchaient bon train et on ne s’ennuyait pas: emplois fictifs, marchés truqués, HLM de 1^ère classe réservées aux copains, dépenses somptuaires lors des réceptions à l’Hôtel de Ville, etc…

Mais avant la présidence chiraquienne et celle de Mitterrand, qui était en place pour assurer notre bien-être populaire ? Le valeureux Valéry !... Ouais, ça me rappelle les diamants de Bokassa (qui n'avaient rien de virtuel), la viande humaine bouffée en compagnie du roi africain, les tortures, la trop fameuse TVA (Travailleurs Venus d’Ailleurs) de 18,6% mise en place à l’époque giscardienne, prévue pour sortir d’une crise - et n’étant donc que provisoire – qui, au lieu de disparaître, n’a cessé de prospérer à 19,6% jusqu’à nos jours.

Cela me rappelle aussi le projet de constitution européenne que ce même monsieur Giscarat d’Ecrin – bien longtemps après avoir été président – se vantait d’avoir concocté dans le détail, gloussant tel une outarde et se produisant sur nos chaînes de TV, l’œil conquérant, plein de sous-entendus, de malice et de mélasse, brandissant les feuillets constitutionnels tels le nouveau testament tristement tartignolesque ; le testament de Marianne en faveur des ogres internationaux de l’industrie, des finances et des tartines beurrées, des lobbies politiques prolifiques, des gros bonnets de Manhattan et de Bruxelles, bref…, l’abandon de tout ce qui fait que la France est notre Pays, le renoncement à nos traditions, à notre patrimoine ou à ce qu’il en reste… Et, qui plus est, ce recueil d’articles pédants - si les Français l’avaient accepté - donnait aux détenteurs du pouvoir mondialiste le droit de vie et de mort sur chacun d’entre nous, un chapitre qui avait été soigneusement dissimulé aux Français lors de la campagne précédant le référendum, tandis qu’une acceptation du projet signifiait, en plus, l’abdication définitive de la souveraineté de notre pays.

Et… avant le valeureux Briscard – pardon, Giscard – qui donc avait en main les rênes de l’Hexagone ? Un certain Georges Pom-ponm, pompi-dauphin du générallisime Doublemaître, grand ami et serviteur empressé des banquiers Rothschild.

Que doit-on à celui-là ? Pas grand chose, à part quatre années de crise économique et d’inflation, des rumeurs scandaleuses dont l’affaire markovic-Marcantoni ainsi que la présomption de soirées très « libertines » de son épouse et, bien sûr, l’avènement du Palais Gruyère qui fit scandale en 1977 lors de son inauguration.

Et à présent, où en sommes-nous ? On nous l’a effectivement bien mis avec l’euro, et l’on voudrait bien que cela cesse ! Que va donc faire notre actuel président Sarkozy pour arranger la situation des Français ?

· Favoriser l’augmentation des salaires ? Oui, à condition de bosser deux fois plus.

· Encourager l’emploi dans les PME ? Oui, en paroles seulement.

· Augmenter les retraites ? Non. Elles vont diminuer et il faudra bientôt attendre 70 ans, voire 72 ans pour en profiter.

· Favoriser l’indépendance de la Justice ? Sûrement pas. C’est lui qui dicte « sa loi » et distribue ses ordres gesticulants.

· Limiter, voire interdire les OGM en France ? Pas question. L’administration à ouvert toutes grandes ses portes à MONSANTO.

· Assouplir la réglementation judiciaire pour les petites infractions ? Non. Tolérance zéro, mais ce n’est pas pour autant que la délinquance a diminué. Elle a au contraire augmenté de 20% en moyenne par rapport à 2005, avec des pointes régionales de 70%.

· Enseigner aux policiers la courtoisie vis à vis des civils qu’ils sont chargés de protéger ? Faut pas rêver ! Le constat est éloquent : des véhicules banalisés conduits par des policiers tuent ou rendent infirmes ; franchissements à grande vitesse de croisements routiers, infractions répétées aux feux de signalisation, hausse sans précédent des bavures et des violences policières : des flics se comportent en cow-boys et se croient tout permis ; autorisation du TASER contre les civils soupçonnés de délinquance, etc.

· Lutter contre la pollution ? En paroles, là aussi ! Mais nous pouvons nous attendre à ce que le gouvernement Fion tende très fort la main vers notre porte-monnaie sous le prétexte de contribuer à la « dépollution ». L’éco-taxe n’est pas loin. Il est aussi question d’une vignette « carbone » pour les véhicules consommateurs de carburants fossiles. Cela ne va pas sans nous rappeler la tristement célèbre vignette automobile Ramadier (alors ministre des finances et franc-maçon), introduite en 1956, en principe destinée à financer la "retraite des vieux", et qui, finalement, n'était qu'une arnaque gouvernementale pour s’en mettre plein les fouilles… En fait, c’est nous qui allons payer pour que les gros pollueurs puissent continuer à polluer tranquillement tandis qu’on passera la serpillière pour atténuer leurs déjections.

· Consultation du peuple pour les grandes décisions ? Négatif ! La nouvelle constitution européenne sera adoptée par le parlement, sans consultation des Français par référendum.

· Respect de la constitution française : Non, au contraire. Notre président a déclaré avoir l’intention de modifier notre constitution pour étendre les pouvoirs présidentiels. Nous ne sommes pas loin de la dictature.

· Et bientôt : sous le prétexte du terrorisme, le marquage des citoyen avec une puce électronique insérée sous la peau sera obligatoire. La microchip et la nanochip pourront être « lues » par un scanner ou depuis un satellite.

· Feu vert pour que les téléphones GSM soient équipés, comme aux Etats-Unis, d’un transpondeur qui permettra une localisation à quelques mètres près.

La liste de tous ces beaux projets est longue, mais arrêtons la ici. Nous le savons, Monsieur Sarkozy est l’ami des puissants, des riches et des dictateurs – dont George W. Bush – mais il n’est pas notre ami. Ses déclarations péremptoires et gesticulantes ne sont pas pour nous rassurantes, elles n’ont rien de fascinant mais paraissent pour le moins fascisantes.

Aurait-il fallu choisir Ségo au second tour des élections ? Pourquoi pas ?… Elle a su montrer qu’elle a du courage et qu’elle est humaine, qu’elle comprend les Français. Malgré quelques bourdes et un ton parfois par trop emphatique, elle s’est bien défendue et ne méritait pas les critiques hargneuses proférées par quelques ténors bien connus du PS, son propre parti (si propre que ça ?). Elle a quand même obtenu le suffrage de dix-sept millions de français, ce qui n’est pas critiquable.

Mais voyons… Ségolène présidente, cela aurait immanquablement signifié le retour des « éléphants » prêts à surgir de leur épineuse jungle politicienne pour venir renifler l’odeur des petits animaux-humains que nous sommes. Parmi eux, il en est, bien connus, qui ont trempé dans l’affaire du sang contaminé (certains l’ont d’ailleurs autorisé en toute connaissance de cause, il ne faut pas l’oublier), d’autres qui ont palpé du fric douteux afin d’assurer des campagnes électorales, et d’autres aussi qui ont pioché dans l’argent public pour satisfaire leurs appétit gargantuesque.

Ségolène n’était donc pas la bonne carte à jouer, malgré la séduction qu’elle a exercé sur le peuple de la France, et malgré tout son charisme.

Il ne restait donc que la carte Sarko. Le pauvre homme qui avait mal à l’euro n’avait pas tout à fait tort de se plaindre. Il avait déjà eu maille à partir avec les éléphants, dont il avait la mémoire tenace, et se souvenait de l’époque où le mythe errant régnait en despote arrogant sur un peuple soumis durant deux septennats. Il avait encore en tête le scandale des écoutes illégales ordonnées secrètement par l’Elysée à un « cabinet noir » constitué d’agents de la DST, du SDECE (devenu DGSE) et du GIGN, lors du premier septennat de François Mitterrand. Il se rappelait aussi les frasques présidentielles à bord des avions du gouvernement, l’appartement du quai Branly payé avec l’argent des contribuables pour sa maîtresse, Anne Pingeot, le faux-vrai attentat de l’Observatoire, son cynisme arrogant lorsqu’il daignait s’adresser au peuple à travers le petit écran, Les escroqueries dont « Vibrachoc », de Roger-Patrice Pelat, son grand ami intime. Cette liste est très loin d’être exhaustive, bien évidemment.

Le malheureux homme, donc, a ramassé la carte Sarko et l’a glissée dans l’urne, espérant qu’ainsi il ne se le ferait plus mettre sournoisement par d’abominables despotes. Au moins, Sarko lui paraissait franc et honnête. Il savait parler aux français avec des mots simples. C’est à n’en pas douter un tribun et un honnête homme. Un ami des français.

La suite est bien connue. Déception. Stupéfaction. Ahurissement. Ecœurement et découragement. Même la libération des otages au Moyen-Orient ne peut contrebalancer pareille déception.

Et il jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y reprendrait plus !

La morale de cette histoire, est que l’euro ne fait pas forcément l’heureux, pas plus que le franc n’était, lui non plus, pas très franc du collier, et que les beaux parleurs ne sont pas, des candidats, les meilleurs.

Demandez donc conseil à nos petits vieux qui n’ont jamais perçu un fifrelin du gros pactole annuel de la vignette Ramadier.

Demandez-vous aussi quels monstres manipulent nos politiciens, nos chefs d’état, pour qu’ils se montrent aussi peu scrupuleux et cruels envers ceux qui les ont portés au pouvoir. Attendez… Des aliens, dites-vous ?… Des aliens seraient derrière le paravent politicard ?… Après tout pourquoi pas ? Du Vatican au Diable, du Diable à un bon Dieu dont on nous rebat les oreilles depuis des millénaires, à une Sainte Vierge qu’on rend omniprésente pour faire tomber Jésus de sa croix, du politicard véreux au serpent venimeux, de David Icke aux reptiliens issus d’un clonage interplanétaire… Pourquoi pas du politicien à l’alien ?

Ne peut-on pas envisager des extraterrestres corrupteurs donnant, en douce, leurs consignes, leurs ordres, à leurs représentants humains ? Il sont sûrement si laids, si effrayant à voir, qu’ils doivent se cacher sous peine de se faire immédiatement lyncher par des cohortes prolétariennes.

S’il nous était permis d’inspecter les cabinets (de toilettes) de certains magouilleurs de haut vol, peut-être y verrions-nous des petits gris ou des grand verts assis sur le trône et poussant très fort pour concocter de vilains projets qui seront, par leurs intermédiaires politiques, présentés dans des écrins soyeux. Pour mieux encore nous le carrer une nouvelle fois dans l’oignon.

Mais nos bons dirigeants ont-ils besoin des aliens pour en arriver là ?

Disons-le franchement et sans crainte : nous en avons plus qu’assez des mensonges répétés à l’infini, des arnaques, des passe-droits, de la corruption de nos gouvernements, des pots de vins aux rois africains et aux émirs arabes, de l'augmentation du pétrole qui rapporte à l'état 80% du prix à la pompe, des arrangements secrets et des décisions confidentielles, de la dilapidation de notre fric, des violences flicardes sous le prétexte d’un terrorisme omniprésent, des cabales à usage de soporifique, de l’autosatisfaction gouvernementale, du « foutage » de nos gueules et autres diarrhées dans lesquelles le peuple français s’enlise depuis tant d’années.

Nicolas SARKOZY, ce sont les Français qui t’ont porté au pouvoir. Nous ne pouvons plus à présent qu’espérer que tu tiendras solidement la barre. L’autosatisfaction et les congratulations ostentatoires sont inutiles. Ce ne sont pas des paroles, mais des actes positifs que nous attendons de toi pour rétablir une situation pourrie. Tu nous as fait des promesses, respecte-les. Respecte-nous et nous te respecterons..