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Au tableau d'honneur pour la meilleure rédaction

Ligne éditoriale définie par HARLEQUIN, contrôlée par Gérard de Villiers

avec la complaisance malencontreuse 

de Urban AECK, (Gérald MOREAU) faux "adaptateur de l'américain"

L'EXECUTEUR N° 73 - Mort en Malaisie

 

Le nouveau langage  de Mack Bolan l'Exécuteur

" - Psst !... Eh !   Moi parler toi... " (p.32)

" - Dollars. In my pocket !... Beaucoup dollars for you ! " (p.33-34)

" - Beaucoup dollars ! For you ! J'ai faim. Dollars-riz, riz-dollars ! dollars pour toi ! Dans ma poche ! " (.34)

" - Beaucoup. Appelle ton chef, je veux acheter du riz. " (p.35)

" - Cent, fit mine d'abdiquer l'Exécuteur. Cent dollars for you, zero dollars for me. Après, moi, plus de dollars. (p.37)

" - Dollars cachés. Dans mon caleçon. Toi pas mettre ta main. Moi prendre dollars pour toi. Toi détacher moi. OK ? " (p.37)

"Toi crier, toi mourir, gronda-t-il de sa voix d'outre-tombe" (p.45)

 

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Nouvelle ligne éditoriale redéfinie par HARLEQUIN

toujours sous le contrôle de Gérard de Villiers 

avec le concours laborieux des équipes canadiennes

L'EXECUTEUR n° 197 - Echec et mat pour un pourri 

  Du gros et du lourd !........

  .........et la "rédaction" du certificat d'études.  Dur, dur... !

 

pages 36-37 :

« L'Exécuteur emprunta un escalier qui le mena à l'étage inférieur du bâtiment et s'engagea dans un long couloir. Une série de fenêtres, sur la gauche, donnait sur les cuisines, assez vastes. Deux Mexicaines étaient occupées à confectionner des gâteaux - à la banane, lui sembla-t-il. En quantité suffisante pour nourrir une armée. Elles sourirent timidement au Guerrier quand il passa à leur hauteur.

« ... Devant lui, un autre couloir croisait celui qu'il suivait. Un panonceau indiquait qu'il fallait tourner sur la droite pour rejoindre les toilettes. Quand Bolan tourna, il se retrouva dans un couloir plus étroit, au bout duquel il aperçut un petit balcon. A côté d'une porte, contre le mur de droite, un balai était plongé dans un sceau. Il y avait aussi une petite pancarte jaune, qui disait en espagnol : « Ménage en cours » sur une face , et « en dérangement » sur l'autre. Personne ne surveillait l'accès aux toilettes.

« ... Le Guerrier poussa la porte marquée Hombres. Elle ouvrait sur une grande pièce sombre. Il donna de la lumière, découvrit quatre cabines et un lavabo surmonté d'un miroir. Il n'y avait pas de fenêtre. Après avoir fermé la porte derrière lui, il alla rapidement inspecter les cabines, vides toutes les quatre. Cela fera l'affaire, décida-t-il.

Page 39 :

« L'Exécuteur alla se planquer dans la dernière cabine et s'assit sur la cuvette. Maintenant la porte ouverte avec son genou, il positionna le sélecteur de tir du 93-R sur le mode rafale.

 

Page 40 :

« La priorité était d'empêcher les autres de répliquer dans l'espace confiné des toilettes. Les Parabellum déchiquetteraient les minces cloisons de métal des cabines comme du papier de soie.

« L'index de Bolan pressait déjà la détente. Le pistolet hoqueta entre ses poings, laissant doucement échapper des triples bégaiements. Dans l'obscurité, les Parabellum pénétrèrent la chair de l'homme qui se tenait baissé, sur sa gauche. Celui-ci laissa échapper un gémissement et, incapable de se retenir, se redressa pour aller cogner contre le lavabo, puis s'écrouler par terre, sur le ventre.

 

Page 41 :

« L'Exécuteur devait terminer son nettoyage et jaillit de la cabine. Quand il atteignit la porte, il aperçut le quatrième homme qui s'enfuyait en direction du balcon, au fond du couloir. Encadré par la lumière éclatante, devant lui, il essayait tout en courant de parler dans le talkie-walkie qu'il tenait dans sa main gauche.

 

Page 42 :

« Pour rejoindre le parking et sa voiture de location, il dut passer par la réception. A cet instant, l'homme qui lui était apparu comme une sorte de maître d'hôtel franchit la porte ouverte d'un bureau. Il ouvrit grand la bouche en voyant à qui il avait affaire.

« Descendre le type aurait été la solution la plus simple au problème de sécurité qu'il représentait. Mais le cow-boy avait l'air d'être le patron du restaurant et Bolan voyait un meilleur moyen de l'utiliser.

« Vous vivez ici depuis longtemps ? questionna-t-il.

- Hein ? Euh... oui, neuf ans.

Soudain, le texan parut très fatigué. »

                                                                   etc..., etc...

 

      Le pauvre Mack Bolan lui aussi est vraiment "très fatigué"...